Attention v'là l'Admin ! Appelez-moi Lucia C. Viazza
| Sujet: Lucia C. Viazza Jeu 23 Mai - 17:36 | |
| Lucia C. Viazza feat Blake Lively | Crédit « Fuir mon pays pour être condamnée dans un autre : tel est l'ironie de mon destin » mon identité | mon caractère | Nom :ViazzaPrénom(s) :Lucia CaterinaÂge :24Date & Lieu de naissance :21 octobre 2000 à Scalenghe, Piémont, Italie Nationalité :Italienne Statut :Célibataire Orientation Sexuelle :Bi Profession :Serveuse Groupe :Alpha
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Je suis de caractère très instable, très lunatique, à la limite de la schizophrénie. Je peux être inoffensive à un moment donné, puis rentrer dans une colère noire l'instant d'après. Je veux toujours avoir raison et je ne supporte pas de ne pas avoir le contrôle sur mon environnement. Néanmoins, je possède quelques qualités, comme la ruse, ma capacité à réfléchir rapidement et à anticiper. Comme j'ai des cheveux longs, j'aime tourner des mèches entre mes doigts et parfois les porter à ma bouche. Naturellement mes yeux expriment la colère, même quand je suis dans un état d'esprit neutre, c'est peut-être pour ça que je fais un peu peur aux gens...
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□ Personne ne se retrouve à Moscou par hasard, encore moins aujourd'hui. Raconte-moi, comment es-tu arrivé ici ?
Je fuyais. Je suis recherchée pour le meurtre de Andrea Viazza, ma propre mère. J'ai abandonné mes études et mon job pour m'enfuir le plus loin possible : j'ai d'abord pensé à la France, l'Angleterre, même l'Allemagne, mais la Russie paraissait être un bon compromis en attendant de trouver une cachette sûre. Le froid et la langue m'ont un peu posé problème au début, mais j'ai fini par trouver un boulot de serveuse et je me suis intégrée.
□ Comment as-tu été infecté ? Si tu ne l'es pas, as-tu peur que cela t'arrive un jour, ou au contraire as-tu envie de te transformer ?
Puisque je suis une Alpha, j'étais avant une condamnée à mort. Pourquoi ? Parce que je ne savais pas que le meurtre de ma mère aurait des répercussions sur mon mental et déclencherait une envie de sang grandissante chez moi. Je l'ai découvert quand j'ai commis mon deuxième meurtre. Pour ma défense, ma victime a essayé de voler mon sac quand je suis partie du boulot et je n'allais pas me laisser faire ! Par contre, ce que j'aurais pu éviter, c'est de commettre le meurtre devant un commissariat. Sinon, qui sait où je serais aujourd'hui...
□ Quels sont tes pouvoirs ? Comment les as-tu découverts ? Si tu n'en as pas, quels pouvoirs aimerais-tu posséder ? Je suis capable de contrôler le feu, enfin par pensée je veux dire ! Pyrokinésie je crois que ça s'appelle. Je l'ai découvert quand les gardiens nous ont menacés avec une arme et que j'ai eu juste envie de les voir mourir sur le champ. Comme pour les autres Alphas qui contrôlent le feu, l'arme de ma victime a pris feu par ma volonté, mais moi je suis allée plus loin : juste avant de m'échapper, j'ai mis le feu au cadavre d'un des gardes... de ma bouche ! Comme un dragon ! Et je l'ai regardé brûler avec satisfaction. Mais je n'ai pas eu le temps de faire la même pour les autres. En plus, pour être franche, j'avais la flemme !
□ Tu détiens le pouvoir de retourner dans le passé et d'y changer une chose, une seule, qu'est-ce que ce serait ? Si j'avais un peu de morale, je retournerais dans le passé pour m'empêcher de tuer ma mère et ainsi m'empêcher de devenir une psychopathe. Mais puisque j'ai perdu toute notion de moralité, je m'en fiche. Mon passé est très bien comme ça, je ne chercherais pas à le changer si j'en avais le pouvoir. Après, peut-être qu'il y a quelques petits détails que je voudrais changer, mais vraiment très anodins, comme la fois où j'ai décidé de commencer des études d'ingénieur alors que ça ne m'intéressais pas du tout : j'aurais pu épargner 2 ans de ma vie, mais ça n'aurait rien changé en fin de compte, j'aurais quand même été la femme que je suis maintenant.
□ Quelle est ta plus grande peur ? La chose qui dresse tous les poils de ton corps, la chose qui te fait dégouliner à en inonder le planché ?
J'ai honte de l'avouer mais j'ai peur du noir... Peut-être ai-je trop regardé de films d'épouvantes étant petite, mais depuis longtemps le noir est pour moi mon pire ennemi. Avant que je ne devienne Alpha, je ne dormais presque pas la nuit, parce que j'étais attentive à n'importe quel bruit de l'endroit où je dormais, mon ouïe était surdéveloppée la nuit, je pouvais presque entendre une fourmi marcher sur la moquette. C'est pour ça qu'en Russie, j'ai cherché un boulot de nuit pour ne plus avoir à dormir dans le noir et surtout pour réussir enfin à dormir !
□ Tu as une dernière chose à m'avouer ? Une petite confession ? Une petite anecdote croustillante sur ta vie ? Rassures toi, avec moi tes secrets sont bien gardés.
Une petite confession ? Euh, je ne vois pas ce que je pourrais dire... Hmmm il y a peut-être quelque chose de croustillant que je pourrais révéler : quand je fais l'amour, j'adore que l'on m'insulte ! Je demande à chaque fois à mon/ma partenaire de me dire les pires insultes quand on passe à l'acte. C'était surtout drôle quand je couchais avec des personnes super gentilles qui aiment tout le monde, je voyais bien la gêne sur leur visage ! Je peux révéler aussi que j'ai un tatouage de chauve-souris sur le bas de mon dos, c'est pour me rappeler que j'ai une envie de sang permanente.
Derrière l'écran Pseudo : Marietta Prénom : Marion Âge : née en 93 (oui pcq j'ai pas envie de changer chaque année :p) Région : Lorraine POWER !! Où avez-vous trouvé le forum ? : Co-fondatrice Vos avis dessus ? : Le meilleur RPG de tous les temps :p Fréquence de connexion : bah ça dépend les périodes, mais en ce moment c'est fréquent Niveau de rp : Master ^^ Personnage inventé ou Scénario ? : Perso inventé Un dernier mot ? : LES COCCINELLES SONT DES COLÉOPTÈRES ! Je suis née dans un petit village du Piémont en Italie de deux parents italiens. Ma mère était médecin et mon père ingénieur, c'est peut-être pour ça que j'avais choisi cette voie, mais on verra ça plus tard. La famille Viazza n'est pas une famille très nombreuse et ma mère a compté les ponts avec toute sa famille, donc quand j'étais petite je n'avais aucun cousin avec qui jouer, je ne voyais jamais mes oncles et tantes... bref, j'étais bien seule en ces temps là. Au niveau du caractère, j'étais une fillette très renfermée et qui manquait d'assurance : aux récréations, je regardais toujours les autres enfants jouer avec envie, car personne ne voulait jamais jouer avec moi. En même temps, il fallait dire que déjà à cette époque je commençais à faire peur avec mes yeux qui expriment la colère tout le temps ! Ses yeux là, je les ai eu parce que ma vie de famille était triste : mes parents ne se parlaient jamais, mes jouets ne me satisfaisait pas... on ne faisait même pas de sortie avec mes parents ultra-casaniers ! Pourtant, un enfant eut un jour le courage de venir me parler : c'était un garçon qui respirait la joie de vivre et qui ne pensait qu'à jouer. Ce qui m'impressionna d'abord, c'est qu'il n'eut pas peur de moi et ensuite qu'il m'eut proposé de jouer avec lui. Cette fois-là, il s'était beaucoup intéressé à moi, m'avait posé plein de questions, et depuis ce jour il ne se souciait que de mon bonheur et est devenu mon meilleur ami. Ce petit garçon s'appelait Giorgio. Je n'avais jamais imaginé une personne avec autant d'altruisme, et pourtant elle existait ! Je lui avais un jour demandé pourquoi il faisait ça, il m'avait répondu que sa mère était la source de son bonheur et elle le rendait tellement heureux qu'il voulait que chacun autour de lui soit heureux. Grâce à lui, j'avais acquis en autorité, j'avais plus confiance en moi et petit à petit je suis devenue la personne que je suis maintenant. On est même un peu sortis ensemble, mais c'était juste pour découvrir ce que c'était d'être en couple, nous n'étions pas vraiment amoureux l'un de l'autre. Il m'avait consolé quand mes parents eurent divorcés et que mon père s'était barré à l'autre bout de la planète. Giorgio était tout pour moi. Nous n'avions pourtant pas suivi les mêmes voies : lui voulait faire psychologue et moi ingénieur, même si je me suis rendue compte au bout de deux ans que ça ne me plaisait pas. Puis un jour, ce fut le drame : la mère de Giorgio avait un cancer du poumon. Les médecins l'avaient découverts trop tard. Mon meilleur ami n'eut même pas le temps de profiter encore un peu de sa mère que déjà elle mourut. Il avait perdu son sourire et sa joie de vie, et je n'étais pas capable de le consoler. Il fut dans cet état même plusieurs mois après sa mort, jamais je ne l'avais vu comme ça ! Du coup, j'essayais d'aller chez lui le plus souvent possible pour ne pas qu'il se sente seul, jusqu'à ce que ma mère ne m'autorise plus. Je me souviendrai toujours de cette scène : je descendais les escaliers quand ma mère m'attendait sur le seuil de la porte. Les bras croisés et le regard sévère, elle voulait me signifier que je ne sortirai pas ce soir. J'essayais alors d'argumenter pour ma sortie, mettant en avant que Giorgio était en dépression, mais elle ne voulait rien entendre. Alors le ton monta et des insultes furent échangées. À la fin, je pris même une bouteille de Lambrusco qui trainait sur la table, la fracassa contre le mur pour obtenir un gros bout de verre coupant et menaça ma mère. Alors celle ci regarda successivement le bout de verre, puis moi et éclata de rire : - Tu n'oseras pas faire ça ! M'avait-elle dit. - Dégage de là, je vais voir Giorgio ! Je ne peux pas le laisser déprimer ! Lui avais-je répondu. - Je ne crois pas que sa mère apprécie que tu oses me menacer pour aller voir son fils ! - Eh bien tu n'as qu'à aller lui demander ! Et je lui plantai le bout de verre dans le cœur. Ma mère me regarda avec un air ahuri, regarda son sang couler, puis s'effondra par terre. Ça aurait pu s'arrêter là, mais je m'étais encore plus acharnée sur elle, lui plantant encore et encore le bout de verre dans son corps. Je continuais jusqu'à ce que je fus sûre que ma mère était bien morte. Puis je regardais son sang couler, et ce phénomène me fascinait : on aurait dit que l'hémoglobine de ma mère dessinait une forme sur le sol du salon. Je restai à regarder le sang comme ça pendant bien cinq minutes. Et quand je me réveillai enfin de ma transe, je me rendis compte de l'urgence de la situation et filai dans ma chambre rassembler de l'argent et des fringues pour m'enfuir. J'hésitais à prendre la carte bleue de ma mère mais je pensais que la police me retrouverait comme ça, donc je décidai de retirer tout l'argent à une borne et de m’éclipser après. J'avais choisi la Russie très rapidement car je savais qu'il y avait une forte probabilité que personne ne viendrait me chercher là bas, et qu'en attendant de trouver un lieu vraiment sûr, je resterais là-bas. Je décidai de ne pas utiliser ma langue natale une fois arrivée à Moscou pour ne pas éveiller les soupçons, et très vite j'avais trouvé un boulot et un logement. La vie était belle pour moi, mais je m'inquiétais un peu pour Giorgio. Avant de partir, je lui avais laissé un mot dans sa boîte lettre pour expliquer ma fuite et pour lui dire qu'il ne devait pas chercher à me contacter de nouveau. La mort de ma mère m'avait quand même un peu marqué : au début je dormais forcément mal à cause de ça, mais cette phase n'avait pas duré trop longtemps et depuis je considérais ce meurtre comme un phénomène normal. Et ma psychose se développa peu à peu : plusieurs fois par jour j'avais des pulsions meurtrières, je me surprenais parfois à faire tourner un couteau dans ma main et de temps en temps, pour me détendre, j'imaginais que j'égorgeais quelqu'un que je n'aimais pas et d'imaginer mes mains couvertes de son sang me faisait le plus grand bien. Mon deuxième accident survint 2 ans après mon arrivée en Russie. J'avais fini mon service et allais pour rentrer chez moi, quand une racaille m'interpella et me lâcha le célèbre : « Hé ! File moi ton sac ! » N'ayant pas l'intention de lui donner mes affaires, je fis volte-face et m'éloigna de lui calmement. Celui-ci s'énerva et me poursuivit avec un couteau. Étant habituée à manier cet instrument, j'avais reconnu le son qu'il faisait quand on le faisait tournoyer. Je sortis alors un flingue de mon sac et le braqua sur lui. La racaille s'arrêta et mit doucement les mains en l'air en haletant. Mais je ne comptais pas l'épargner. J'avais tiré. Plusieurs fois. Et à chaque fois je souriais jusqu'aux oreilles et je riais de joie. Ma soif de sang était étanchée ! Bon, c'est sûr que mon crime n'était pas très discret et que la population aux alentours, dont les poulets du commissariat, m'avait entendu. Donc très vite, je fus arrêtée et condamné à mort, mais juste pour le meurtre de cette racaille, pas celui de ma mère en plus. La suite, vous la connaissez. Étant une Alpha contrôleuse du feu, plus rien ne pouvait m'empêcher d'avoir ma dose de sang quotidienne, mais cette fois ci je comptais bien que ce fusse le sang des scientifiques qui avaient essayé de me tuer. |
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